Les nappes (jeudi 26 février 2015)

 Surprise, ce matin le soleil est timide, il a du mal à chauffer le camping-car, mais ce n’est que passager car dans la matinée, tout rentre dans l’ordre, il fait un temps superbe, Danièle sort même son maillot de bain et débardeur !!!

Température : 27,7 ° C

Danièle cuisine dehors sur le petit réchaud marocain et nous nous régalons de poisson grillé, de courgettes et de poivrons.

On déjeune dehors

Nous essayons de manger le plus local possible, car la fraîcheur et le goût savoureux des produits se devinent au premier regard. Les fruits et les primeurs sont le plus souvent cueillis à maturité. Danièle s’en réjouis car elle aime les préparer, les cuisiner et elle en fait une grosse consommation (régime médical oblige). Dans les souks, on se laisse guider par les odeurs des olives piquantes ou un pain rond, plat qui cuit dans un four à bois jusqu’à ce qu’il soit croustillant à l’extérieur, moelleux et léger à l’intérieur !!! Hum… D’innombrables vendeurs vantent leurs fruits disposés en pyramide sur leurs carrioles. Quant à Michel il se laisse tenter par des alléchantes pâtisseries comme des sortes de mille-feuille fourré à la crème chantilly, des rochers à la noix de coco et des macarons… sous le regard malheureux de Danièle qui n’y a pas droit !!!

L’après-midi passe à se reposer, lire et profiter du soleil. Nous devions aller en ville, afin de chercher un artisan pour nous confectionner des nappes sur mesure pour nos tables extérieures, mais en faisant la vaisselle, Danièle a bavardé avec une dame qui justement a fait réaliser ce travail à un tapissier qui vient justement ce soir au camping. Rendez-vous est pris et dans la soirée, nous le rencontrons, il nous apportera des échantillons de toile demain matin… A suivre !!!

18h00, déjà l’heure de se mettre au chaud dans le camping-car, de consulter nos mails et commentaires sur le blog puis regarder les nouvelles de la France à la télé.

Température 26° à 16h00

Les fraises (mercredi 25 février 2015)

 Comme c’est agréable de se réveiller avec les rayons chauds du soleil… Pas de vent pour l’instant, ce qui nous permet de bien nous installer et de déjeuner dehors. Le camping est agréable, il est ouvert depuis seulement sept jours. Quelques travaux continuent mais ne dérange pas la clientèle. Les sanitaires sont parfaits (pour l’instant …) et très propres. Voici ses coordonnées GPS : N 29°42.800’ O 009°43.852’

 

Le Camping-car.

Sur le camping

Dans l’après-midi nous partons à pied en direction de la ville. En route nous croisons des chameaux (Au Maroc, une bosse ou deux bosses : c’est un chameau) qui font un peu peur à Isis.

Les chameaux

Sur le bord de la route

Tiznit est une ville agréable à environ 90 km au sud d’Agadir. Elle est entourée de larges remparts qui abritent une ancienne médina. Les souks y sont nombreux et un des plus connu est celui des bijoutiers. On dit que c’est ici que sont confectionnés les plus beaux du sud, tous décorés à l’aide de pierres semi-précieuses et d’émaux. Nous aimons flâner dans ces rues très animés où nous croisons quelques européens. Après l’achat de fruits dont des fraises, nous prenons le chemin du retour et malgré une petite fatigue, nos pas se font de plus en plus pressants en pensant à la dégustation de nos premières fraises pour le dessert de ce soir… !!!

 

L'oasis

Les fraises

Température 24° à 16h00

El Ouatia – Tiznit : Hommage à Josiane et André (mardi 24 février 2015)

 Cela fait cinq jours que nous sommes au camping « Atlantique » à El Ouatia. A part deux après-midi bien ensoleillés, le temps n’est toujours pas terrible et ce bon sang de vent est encore là. C’est donc hier soir, autour d’un thé à la menthe et de crêpes mille-trous confectionnées par Danièle que nous avons décidé avec Roger et Cathy de bouger de cet endroit. Nous, nous irons à Tiznit, Roger et Cathy choisissent d’aller à Abaynou puis faire un petit circuit touristique dans ce coin là. C’est donc en fin de matinée, après le ravitaillement et après avoir salué Saïda que nous nous séparons. Nous nous retrouverons sans doute dans quelques temps au cours de nos déplacements respectifs.

Les Chameaux de Tan Tan

La route qui défile devant nous est monotone, mais il faut être vigilant car celle-ci est dangereuse et par certains endroits en travaux.

Travaux sur la route

C’est avec émotion que nous repérons le lieu de l’accident (44 km au sud de Guelmin) qui a coûté la vie le 20 décembre dernier, aux amis de Colette et Bernard. Après avoir cueilli un bouquet de petites fleurs mauves du désert, nous arrivons sur l’emplacement où le choc a eu lieu. De nombreux débris éparpillés du camping-car sont visibles, même des médicaments, des chaussures, des emballages de shampoing, dentifrice, etc… C’est saisissant de tristesse de penser que ce couple allait tranquillement à Dakhla, comme tous les ans, pour passer l’hiver au chaud. Lors d’une de nos conversations avec Saïda, elle nous a appris que c’était le chauffeur du camion venant de Dakhla qui s’était endormi au volant et a percuté de plein fouet le camping-car.

Arrêt sur les lieux de l'accident

Les fleurs du souvenir

En communion par la pensée avec Bernard et Colette, nous avons fait de notre mieux pour déposer devant une pierre, le bouquet de fleurs en hommage à Josiane et André, en pensant que quelquefois, la vie d’un seul coup, s’arrête là…

Les restes du Camping-car

Hommage à Josiane et André

Après avoir passé Guelmin, la circulation est plus dense, Michel a hâte d’arriver à Tiznit. Mais bonne nouvelle, plus de vent et un magnifique soleil chaud nous a accompagné tout au long de la journée.

Porte de Guelmin

Route encaissée

Nous arrivons enfin à Tiznit, et après la traversée encombrée d’une partie de la médina (en camping-car, pas facile !!!) nous arrivons vers 18h00 au camping « Targua », qui vient d’ouvrir ses portes et nous nous installons bien content de nous poser.

Kilomètres de la journée : 263 km

Kilomètres depuis Montlouis : 3574 km

Altitude : 230 m

Température : 25° à 16h00

La tempête (mardi 17 au jeudi 19 février 2015)

Un fort vent c’est encore levé cette nuit et ce matin, le ciel est blanc. Nous espérons sans trop y croire que ça va s’arranger…

Comme nous n’avons plus d’eau dans nos camping-cars et après avoir transvaser dans le notre les bidons de réserve que Roger avait dans sa remorque, Cathy et Roger partent en début d’après-midi à El Ouatia, au camping pour y passer la nuit, ce qui leur permettra de faire le plein, de remplir les bidons de réserve, faire quelques courses etc…

Pour ne pas s’encombrer et comme ils reviennent le lendemain, Roger et Cathy ont laissé en place, leurs trois tapis de sol, en prenant soin de mettre de grosses pierres pour les maintenir car le vent devient de plus en plus fort. Ils nous laissent également leurs table et chaises que nous mettons à l’abri à côté des nôtres devant notre camping-car.

Au fur et à mesure que le temps passe, le vent redouble d’intensité, la mer est grise et les vagues se déchaînent. Le camping-car qui n’était pas loin de nous part… Il ne reste plus que nous et le camion aménagé, mais… quelques instant plus tard nous le voyons s’éloigner à son tour …

 

Le vent . . .

commence à souffler.

Vers 18h00, ce sont des rafales de vent qui secouent le camping-car de tous côtés, malgré les stabilisateurs que Michel a mis en place. C’est à un point tel que dehors, nous luttons pour marcher, nous avons l’impression de faire du surplace. Isis ne peut même pas aller faire ses besoins tellement le vent est puissant. Plusieurs fois, nous remettons des grosses pierres sur les tapis qui sont tous sens dessus dessous. La nuit tombe… Dans le camping-car, l’air filtre de tous les côtés, malgré les fenêtres fermées et les rideaux baissés. Nous avons la sensation d’être seuls au monde et de nous battre avec les éléments déchaînés de la nature, comme un bateau qui tangue sur la mer. Danièle est anxieuse, Michel essaie d’être rassurant, mais c’est sans grande conviction.

Les vagues commencent à gonfler.

Pour nous occuper et penser à autre chose, nous décidons de jouer au Scrabble, ce que nous n’avons pas fait depuis bien longtemps!!!

Au bout de Deux heures de jeu, nous dînons légèrement. Le bruit des rafales de vent est assourdissant et comme il fait de plus en plus froid dans le camping-car, nous allons nous réfugier sous notre couette, blottis l’un contre l’autre en ayant chacun dans nos têtes nos propres angoisses respectives des prochaines heures…

La nuit s’écoule lentement, nous somnolons de temps en temps, toujours ballottés par ce vent qui ne s’arrête toujours pas !!!

La tempête . . .

est bien là ! ! !

Dans la matinée, nous préparons tout pour partir le plus vite possible. Michel n’a rien remarqué, le camping-car a résisté à tous les assauts de la tempête et continu à bien nous protéger. Cependant, les cales du camping-car ont été déplacées par le vent de plusieurs dizaines de mètres !!!

Cathy nous téléphone, ils sont bloqué au camping, le tuyau de leur pompe à eau est percé !!!

Roger est parti en ville à la recherche d’un plombier. Le vent a soufflé aussi au camping, mais pas aussi fort qu’ici, inutile de revenir, nous ramassons tout et nous arrivons.

C’est en début d’après-midi que nous partons de notre petit coin enchanteur, qui aurait pu se transformer en cauchemar, nous sommes donc soulagés de nous mettre à l’abri. Une heure après, nous arrivons au camping où nous retrouvons Cathy et Roger, qui entre temps ont trouvé un plombier pour réparer leur tuyau. Nous buvons ensemble un café en nous racontant nos « petites misères » respectives. Dans la soirée, nous sortons faire des courses, nous passons voir Saïda qui nous sert un thé à la menthe et des bonnes crêpes feuilletées qu’elle confectionne devant nous. En voilà un bon réconfortant !!!

Jeudi :

Le calme et aucun bruit n’est venu briser le silence de cette nuit. A l’abri derrière le mur, nous sommes protégés des assauts du vent, beaucoup moins violent que sur la côte. Nous apprécions d’être là, en sécurité.

A l'abri au camping.

 

Un bon couscous . . .

pour nous remonter le moral ! ! !

Nous restons toute l’après-midi à écrire notre blog et à sélectionner les photos. Le vent souffle toujours, et d’après la météo, pas beaucoup d’amélioration prévu avant lundi… Cà commence à faire long…

Ce soir, soirée télé aussi tranquille que cette journée.

Le fusible (samedi 14 au lundi 16 février 2015)

Notre douce vie se déroule calmement, malgré un petit vent toujours présent, qui parfois prend un peu plus de force et nous oblige à rester dans le camping-car. Nous avons aussi des périodes de grand soleil où nous pouvons manger dehors et même faire une petite sieste au grand air.

Un autre camping-car ainsi qu’un camion aménagé sont venus s’installer non loin de nous.

Dimanche, des marocains avec leurs familles sont venus équipés pour certains, de tentes pour pique-niquer et pêcher en bas sur la plage.

Sur les bords du Drâa

Lundi la journée s’annonce belle, car le soleil est présent de bonne heure et le vent est discret. Dans l’après-midi, nous décidons tous les quatre de descendre sur la plage se promener les pieds dans l’eau, le nez au vent et le soleil dans les yeux !!!

les camping-cars

 

Les mouettes

A l’embouchure du Drâa, les dunes sont parsemées de trous qui ne nous facilitent pas la marche. Néanmoins, nous apprécions cette balade et les chiens s’en donnent aussi à cœur joie… !!!

 

Danièle les pieds dans l'eau

A notre retour, Michel décide de contrôler si tout marche bien dans le camping-car, il a remarqué ce matin, que le panneau solaire a du mal à nous fournir l’énergie dont nous avons besoin. Effectivement l’écran du régulateur n’affiche plus aucune donnée, ça y est la panne redoutée est bien là… Après toutes les vérifications qu’il se doit et aidé par Roger, Michel n’arrive pas à déceler l’anomalie. Danièle ne dit rien, mais commence à pester après le poseur marocain de la 2^ème batterie de cellule qu’il nous a installé à Tifnit et se voit déjà reprendre la route et faire de nombreux kilomètres pour échanger l’appareil… !!! Nous ressortons la facture et téléphonons à cet artisan qui explique qu’il doit y avoir un fusible à proximité de la batterie. Pourtant, Michel a tout inspecté, il faut dire que l’accès aux batteries dans un coffre n’est guère facile et c’est à plat ventre, sur le côté, sur le dos, à quatre pattes, etc… que Michel arrive enfin à dénicher ce « tout petit truc » qui s’appelle fusible et qui nous bloque comme ça !!! Dans la trousse à outils « magique » de Michel, il trouve celui qui correspond et hop, en un rien de temps tout rentre dans l’ordre !!! C’est avec soulagement que tout le monde se détend et que nous passons une bonne soirée.

 

Le vent … (vendredi 13 février 2015)

 Un vent violent s’est levé dans la nuit et ce matin il est toujours aussi fort. Malgré tout le soleil est là et les festons blancs sur la mer sont toujours aussi jolis. A cause du vent nous passons plus de temps à l’intérieur du camping-car qu’à l’extérieur. Ce n’est pas grave, nous avons de quoi nous occuper. Dans l’après-midi, Danièle avec Isis s’est tout de même promenée sur la plage en contrebas.

 

Comme nous restons là pour un moment et que rien de spécial ne se passe, nous allons faire une petite pause dans nos récits, nous résumerons dans quelques jours nos activités.

A bientôt et bonne saint Valentin à tous.

Le ciel, le soleil et la mer… (jeudi 12 février 2015)

 Quel bonheur de se réveiller avec le soleil et le bruit des vagues, surtout quand on a juste à soulever le coin du rideau et apercevoir l’immensité de l’océan. Nous prenons notre petit déjeuner toujours devant la même vue et le même émerveillement. C’est sympa de penser que l’on a aucune autre obligation que de s’occuper de nous… Personne ne peut nous contrarier puisqu’à part Roger et Cathy, nos plus proches voisins sont à 200 m environ !!! C’est dans cet état d’esprit (Isis a l’air du même avis que nous…) que la matinée se passe à flemmarder, Danièle en épluchant tranquillement les légumes et Michel en bricolant de ci, de là.

 

Danièle épluche les légumes.

Il fait très beau, à l’abri du vent la chaleur est agréable et les débardeurs sont de sorti !!!

L’oued Drâa que nous avons sous les yeux depuis hier est le plus long fleuve du Maroc (1100 km), Il se jette dans l’océan atlantique à Foum Drâa où nous sommes précisément.

Notre vue

Après avoir dégusté un tajine préparé par Cathy, et passé l’après-midi à « refaire le monde », chacun rentre dans son camping-car, la fraicheur tombe vite et il faut se mettre au chaud.

Pour l’instant nos tentative d’appel avec Skype ne donne pas de bons résultats, espérons que ça s’arrange vite…

Cap Drââ (mercredi 11 février 2015)

Face

Malgré notre descente plus au sud, les nuits sont encore froides et il faut attendre le milieu de la matinée pour que le soleil chauffe, c’était donc le cas ce matin. Après avoir fait de nouveau le plein de nos camping-cars, nous voila maintenant stationné sur la petite place principale de la ville où nous trouvons tous les commerces dont nous avons besoin. Il y a même une banque et une poste. On dirait que l’on a remonté le temps, car les commerces sont à peu près les mêmes que ceux que nous avons connus en France dans notre jeunesse.

les camping-cars

 

Cathy et Roger retrouvent comme chaque année Saïda, une restauratrice qui nous invite à prendre le thé à la menthe. Elle est adorable et nous passons un excellent moment à discuter des dernières « petites nouvelles ». Puis nous prenons la route en direction de Tan-Tan, nous bifurquons vers le cap Drââ pour rejoindre l’endroit où Roger et Cathy ont séjourné l’année dernière.

Sur la route de Cap Drâa

La mer est en vue et les falaises surplombent l’océan avec des paysages fabuleux. Il y a plusieurs possibilités de bivouacs, où quelques camping-cars sont déjà installés. D’un commun accord, nous jetons notre dévolu sur une falaise qui domine à la fois la mer et l’embouchure de l’oued Drââ. Nous sommes tous les quatre émerveillés par la splendeur du panorama. Nous disposons nos camping-car de façon à être protégé du vent, mais aussi à préserver cette vue splendide depuis l’intérieur de nos camping-cars.

 

Notre emplacement . . .

Face à la mer.

Foum-Drâa (embouchure du Drâa)

Après la visite de l’armée et de la gendarmerie royale, ceux-ci nous donnent l’autorisation de séjourner à cet endroit.

La vue . . .

depuis le camping-car

Notre installation nous ayant pris un bon moment, c’est seulement vers 15h30 que nous déjeunons après avoir pris comme il se doit un petit réconfortant… anisé !!!

En fin d’après-midi, nous contemplons notre premier coucher de soleil sur l’océan… splendide… !!!

 

Notre . . .

premier . . .

Coucher de soleil.

Kilomètres de la journée : 43 km

Kilomètres depuis Montlouis : 3259 km

Altitude : 48 m

Température : 23° à 16h00

 

Mirleft – El-Ouatia (mardi 10 février 2015)

En ouvrant les yeux ce matin, c’est tout guilleret que nous nous levons car nous savons que derrière le rideau du camping-car, se cache la merveilleuse vue sur la mer. Le rêve de Danièle de prendre son petit déjeuner en regardant la mer frapper les rochers sous le soleil naissant va se réaliser. Nous avons du mal à quitter ce camping sympathique et vraiment bien entretenu. Nous y reviendrons sûrement…

Après avoir renforcé son pare-brise avec d’autres morceaux d’autocollant, Roger, Cathy et nous- même prenons la direction de Sidi-Ifni pour voir les arches naturelles de Legzira. 

 

Le chemin qui mène aux arches

Après avoir laissé les camping-cars sur un parking, nous empruntons un chemin rocailleux et pentu qui nous conduit sur la plage, vers les fameuses arches. C’est sous un temps superbe et chaud, qu’à marée basse, la balade le long de la plage en direction des rochers offre un vrai dépaysement. Nous traversons ces immenses arches, dont on se rend compte de près qu'elles sont faites de terre rouge et de galets agglomérés que l'océan n'entame pas. Nous restons un moment à contempler et admirer ces merveilles de la nature et ce cadre enchanteur.

 

Le village

Les Arches

 

 

 

Rochers . . . tête de pirate ! ! !

 

La taille des arches en comparaisons des personnes  ! ! !

Après avoir regagné nos camping-cars et déjeuné, c’est vers 14h00 que nous reprenons la route en direction de Guelmin. Cette magnifique petite route qui serpente dans la montagne est malheureusement bien endommagée en de nombreux endroits, suite aux dernières inondations qui ont provoquées bien des dégâts dans la région.

 

Route en mauvais état

Un camion comme celui que Roger a croisé ! ! !

C’est presque à la nuit tombante que nous arrivons enfin à El-Ouatia (Tan-Tan plage) où nous nous installons pour la nuit au camping « Atlantique ». Demain après un gros ravitaillement, nous nous dirigerons vers le bivouac de l’oued Drââ.

Pour information… le pare-brise de Roger a tenu le coup… Ouf !!!

Kilomètres de la journée : 230 km

Kilomètres depuis Montlouis : 3216 km

Altitude : 26 m

Température : 24° à 16h00