Le matin au réveil, nous ne pouvons qu’admirer les dunes en
face de nous. Le ciel est bleu et la chaleur commence à s’installer.
Michel décide de changer de place notre camping-car, que nous
n’arrivons pas à mettre de niveau. Nous sommes pour l’instant
seul sur le terrain et avec le propriétaire, nous choisissons un
meilleur emplacement à l’ombre de deux palmiers, sur un endroit
plus plat.
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Nouvel emplacement |
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Couleur locale . . . ! ! ! |
Quand nous partons à pied à 11h00, dans le centre de
MERZOUGA, il fait déjà 31°. Le village est de construction
récente, on raconte que le site était autrefois un lieu de
campement des caravanes et que ce sont les noyaux de dattes laissés
par les nomades qui ont donné naissance à la palmeraie.
Pour arriver, nous empruntons des petites ruelles en terre
battue, jonchées de pierres et lorsque nous apercevons la rue
principale, nous sommes étonnés car elle est défoncée,
certainement à cause des 4X4, motos, quads et autres engins
tout-terrains qui circulent dans tous les sens. On croirait un
village sorti d’un western. Le tour en est vite fait car seule la
rue principale est commerçante.
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La rue . . . |
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Principale . . . |
Nous achetons un poulet en faisant
bien attention que le boucher le sorte sous nos yeux du frigo. Nous
sommes assaillis par les incessantes propositions d’excursions dans
le désert, alors nous nous efforçons de garder notre calme en étant
hermétique à toutes leurs prestations. D’ailleurs nous sommes
déjà en pourparler avec Lahcen le propriétaire du camping, avec
qui nous sommes en confiance et qui nous propose des tarifs qui nous
conviennent. Le prix étant moins cher si nous sommes quatre, nous
attendons que Lahcen ou bien nous, trouvions un autre couple. Sur le
chemin du retour, nous achetons 4 bidons de 5 litres d’eau de
source car nous en consommons beaucoup, vu la chaleur. A notre
retour, nous déjeunons dehors sous le store, un vent léger nous
aide à supporter la chaleur, que nous apprécions malgré
tout.
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A l'ombre des palmiers |
En
fin d’après-midi, nous partons dans les dunes qui commencent juste
à côté de nous. En marchant, nous nous enfonçons dans le sable et
ce n’est pas facile d’avancer. Nous mesurons l’immensité du
désert et le calme qui y règne, parfois troublé par les pétarades
des quads et autres engins à moteurs.
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La grande dune |
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Avec une petite marocaine |
Nous nous asseyons au sommet
d’une dune pour assister au coucher du soleil. Lorsque nous
rentrons à 19h00, il fait encore 28° et nous sommes contents de
pouvoir de nouveau dîner dehors.
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Coucher de soleil |
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