vendredi 27 mars 2020

MERZOUGA (mercredi 27 mars 2013)

Le matin au réveil, nous ne pouvons qu’admirer les dunes en face de nous. Le ciel est bleu et la chaleur commence à s’installer. Michel décide de changer de place notre camping-car, que nous n’arrivons pas à mettre de niveau. Nous sommes pour l’instant seul sur le terrain et avec le propriétaire, nous choisissons un meilleur emplacement à l’ombre de deux palmiers, sur un endroit plus plat. 
Nouvel emplacement

Couleur locale . . . ! ! !
Quand nous partons à pied à 11h00, dans le centre de MERZOUGA, il fait déjà 31°. Le village est de construction récente, on raconte que le site était autrefois un lieu de campement des caravanes et que ce sont les noyaux de dattes laissés par les nomades qui ont donné naissance à la palmeraie. 
Pour arriver, nous empruntons des petites ruelles en terre battue, jonchées de pierres et lorsque nous apercevons la rue principale, nous sommes étonnés car elle est défoncée, certainement à cause des 4X4, motos, quads et autres engins tout-terrains qui circulent dans tous les sens. On croirait un village sorti d’un western. Le tour en est vite fait car seule la rue principale est commerçante.

La rue . . .
Principale . . .
Nous achetons un poulet en faisant bien attention que le boucher le sorte sous nos yeux du frigo. Nous sommes assaillis par les incessantes propositions d’excursions dans le désert, alors nous nous efforçons de garder notre calme en étant hermétique à toutes leurs prestations. D’ailleurs nous sommes déjà en pourparler avec Lahcen le propriétaire du camping, avec qui nous sommes en confiance et qui nous propose des tarifs qui nous conviennent. Le prix étant moins cher si nous sommes quatre, nous attendons que Lahcen ou bien nous, trouvions un autre couple. Sur le chemin du retour, nous achetons 4 bidons de 5 litres d’eau de source car nous en consommons beaucoup, vu  la chaleur. A notre retour, nous déjeunons dehors sous le store, un vent léger nous aide à supporter  la chaleur, que nous apprécions malgré tout. 

A l'ombre des palmiers
En fin d’après-midi, nous partons dans les dunes qui commencent juste à côté de nous. En marchant, nous nous enfonçons dans le sable et ce n’est pas facile d’avancer. Nous mesurons l’immensité du désert et le calme qui y règne, parfois troublé par les pétarades des quads et autres engins à moteurs. 
 

La grande dune

Avec une petite marocaine

Nous nous asseyons au sommet d’une dune pour assister au coucher du soleil. Lorsque nous rentrons à 19h00, il fait encore 28° et nous sommes contents de pouvoir de nouveau dîner dehors.

Coucher de soleil

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